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bsr, pour ma part le premier réflexe est de sauver la vie de la parturiente à travers les les soins après avortement. Cette thèse est d'autant plus pertinente en en situation d'urgence où l'agent de santé n'a pas vocation de jouer le rôle de police. Quelle que soit l'issue de l'avortement la patiente doit être prise en charge correctement sans jugement. L'approche centrée sur le patient veut rompre avec les anciennes pratiques consistant à prendre des décisions unilatérales dans l'offre ces soins. L'avis du patient est à considérer. Le code déontologique vous oblige à tenir secret dans l'exercice de votre profession. Mais si  vos enquêtes sont fondées que ces pratiques relèvent de vos collaborateurs dans la même structure, vous êtes en obligation de  dénoncer ces derniers mais pas la patiente. Sinon vous serrez poursuivis pour complicité.

Cela n'est pas une responsabilite du personnel de la sante! Pour les medecins, revoir le serment d'Hippocrate!